Pierre Vaneck est mort! Un acteur que j'aimais.
J'espère revoir cette pièce de Yasmina Reza, Art, où il interprète Marc avec Fabrice Luchini, Serge et Pierre Arditi, Yvan. Serge l'invite à venir voir sa dernière acquisition : une toile blanche acquise pour 200 000 francs. Incompréhension de Marc et Yvan et une discussion s'engage entre les trois amis sur l'art contemporain mais aussi sur l'absurde.
Marc à Serge : « Tu as acheté cette merde deux cent mille francs ? »
Serge à Marc, en réponse : « mais mon vieux c'est le prix c'est un ANTRIOS »
Serge à Marc, parlant de l'auteur de son acquisition : « Mais pour moi, c’est une divinité ! Tu ne crois pas que j’aurais claqué cette fortune pour un vulgaire mortel !… »
Répétée à plusieurs reprises : « Lis Sénèque. »
« "Et alors ?" "Et alors rien !" »
Marc : « Je me fous de ce que dit Paul Valéry. »
Serge : « Tu n'aimes pas non plus Paul Valéry ? »
Marc : « Ne me cite pas Paul Valéry. »
Serge : « Mais tu aimais Paul Valéry ! »
Serge à Marc : « Mais qui es-tu, Marc ?! »
Yvan : « Je veux être votre ami, Yvan le farfadet. »
Serge : « Un homme de son temps participe à la dynamique intrinsèque de l'évolution. »
Marc à Serge : « Si tu te blesses, ça signifie que tu es suspendu au jugement d'autrui. »
Serge à Marc, en réponse : « mais mon vieux c'est le prix c'est un ANTRIOS »
Serge à Marc, parlant de l'auteur de son acquisition : « Mais pour moi, c’est une divinité ! Tu ne crois pas que j’aurais claqué cette fortune pour un vulgaire mortel !… »
Répétée à plusieurs reprises : « Lis Sénèque. »
« "Et alors ?" "Et alors rien !" »
Marc : « Je me fous de ce que dit Paul Valéry. »
Serge : « Tu n'aimes pas non plus Paul Valéry ? »
Marc : « Ne me cite pas Paul Valéry. »
Serge : « Mais tu aimais Paul Valéry ! »
Serge à Marc : « Mais qui es-tu, Marc ?! »
Yvan : « Je veux être votre ami, Yvan le farfadet. »
Serge : « Un homme de son temps participe à la dynamique intrinsèque de l'évolution. »
Marc à Serge : « Si tu te blesses, ça signifie que tu es suspendu au jugement d'autrui. »
Wikipédia.
Je voudrais mourir comme Françoise Giroud : avoir un malaise en assistant à une pièce de théâtre et mourir quelques heures plus tard. Pouvoir jusqu'au bout, vivre de curiosité, de passion... sans attendre d'avoir 86 ans.