mardi 28 novembre 2017

Oh Come on ! Ow ! ahhh ! Hugh ! Putting à la Maison (blanche)

Je découvrais cette photo...


Bill Murray à la Maison Blanche  avec Barack Obama

Un mois aujourd'hui que je n'avais pas touché une balle, ça commençait à me titiller. Je sortais un antique putter de Saint-Andrew's, trouvais un pot de confiture vide et allons-y!



  

Je changeais de côté et échangeais le pot de confiture contre un verre




Après mes essais, je faisais une recherche plus approfondie sur la photo de Bill Murray avec Barack Obama et je trouvais cette vidéo. Je comprenais mieux pourquoi ma balle  ne restait pas dans le verre (évasé). Je constatais avec une certaine satisfaction que Bill Murray avait le même putter ancien que le mien (ce n'est pas celui avec lequel je joue sur le parcours).


Ben non, Barack ne rentre pas à chaque fois !
Trop fort Bill !

samedi 25 novembre 2017

"L'automne est une attente immobile, avec les brusques clameurs des vents volubiles." (Henning Mankell)



J'étais partie pour une longue promenade le long de la plage, sur les dunes. Le vent glacial  me dirigea rapidement vers les ruelles étroites de l'île où je m'engouffrais pour m'en protéger.



Mais la vue sur la mer était si belle, que je prolongeais ma balade jusqu'à la pointe de l'île.


A nouveau, je me réfugiais dans une ruelle...



... avant d'aller me réchauffer Chez Pierre, avec un délicieux Café Viennois.


J'avais de la chance, c'était la première fois que je pouvais profiter du petit coin cosy et m'enfoncer dans un des fauteuils clubs en cuir très confortables que je convoitais les autres fois.
Au-dessus de ma tête, ce plafonnier et ses bouteilles vides n'était pas le seul objet insolite de ce lieu que j'apprécie, autant que le Café Viennois servi généreusement par le maître de maison, avec le sourire, ce qui le rend encore plus savoureux!

Je feuilletais le journal du coin, à la disposition des clients, le sourire aux lèvres en découvrant qu'un ami (perdu de vue) venait de publier un nouveau livre. Tiens tiens, et si je l'achetais pour le faire dédicacer lors de sa prochaine séance de signature; ce serait amusant de voir sa réaction en m'apercevant. Bon, ce ne sera pas un remake de D'après une histoire vraie le film de Roman Polanski (et Olivier Assayas), mais ... Au fait, je suis fan des films de Polanski (et de Assayas) mais ce dernier m'a déçue.

J'avais fini de siroter mon Café Viennois, le bistrot commençait a être bien rempli et animé. Je remettais ma doudoune et m'emmitouflais dans mon écharpe pour affronter le vent toujours glacial sous un ciel bleu et la divine lumière d'une fin novembre.

 (Cliquer pour lire)

 

jeudi 16 novembre 2017

Non, non et non !

Je refuse "l'autrice" et la féminisation des mots.
Je refuse tout autant une auteure  et l'horrible écrivaine.
Quant à la maire de ... Paris ou de Pétaouchnok, ça me fait éclater de rire. Je ne peux m'empêcher de penser à la Mère Denis dès que j'entends dire : la maire de Paris, manquerait plus qu'on dise : la maire Anne Hidalgo (sauf votre respect madame). Je crois bien l'avoir entendu... et sans doute que ça ne choque personne.  Personne n'entend  la  mère...





Lu ce jour, dans la presse :

Alice Zeniter reçoit le Goncourt des lycéens avec «L'Art de perdre»

La Française de 31 ans, finaliste déçue du Prix Goncourt, est honorée du Goncourt des lycéens pour son récit autobiographique retraçant le destin d'une famille de harkis. C'est la seule autrice à recevoir un prix d’importance cette année [...]

Je dis non à tous les excès du féminisme révolutionnaire
Je suis une femme libre, à la manière de Françoise Giroud...

"Néanmoins, Françoise Giroud n’est pas une féministe révolutionnaire à l’image de certaines militantes d’extrême-gauche issues des mouvements plus ou moins radicaux du début des années 1970. C’est une réformiste œuvrant pour une amélioration de la condition féminine et qui ne renie pas sa féminité. Ce mémoire est donc la démonstration d’un combat mené par une grande dame du journalisme pour une nouvelle place des femmes avec le soutien d’un organe de presse. L’Express a été véritablement une tribune politique cherchant à promouvoir l’émancipation des femmes notamment auprès de son lectorat privilégié des classes moyennes, décisives dans les évolutions de genre. Dans ce cadre, la politique réformiste de Françoise Giroud n’a pu qu’avoir des répercussions sur l’émancipation des femmes et sur l’évolution de leur représentation dans la société. Avant de s’éteindre, Françoise Giroud constatait le chemin parcouru depuis les années 1950 : des évolutions auxquelles elle a participé, qu’elle a favorisées."

(Extrait du Mémoire de Cécile Varizat*, Françoise Giroud  et la question des femmes à travers l'Express (1956-1974))
*Maîtrise, Université de Grenoble, 2005.

Françoise Giroud en 1955 à L'Express, le journal qu'elle a fondé
avec Jean-Jacques Servan-Schreiber (à gauche)


Françoise Giroud, 1975. Entrée en politique. Aux côtés de Simone Veil, 
ministre de la santé, elle est secrétaire d’État à la Condition féminine,
du premier Gouvernement de Jacques Chirac. 

... mais plus proche de Simone de Beauvoir ! Entre les deux, mon cœur balance. Cependant, je n'occulte pas le fait qu'aucune des deux ne soit blanc-bleu, et cela n'enlève rien au plaisir que j'ai éprouvé à lire leurs ouvrages lors des premières années de ma vie parisienne. Les mémoires d'une jeune fille rangée je l'ai lu plus tôt, et relu plus tard.
Il m'arrive d'ouvrir de temps en temps Le deuxième sexe (1949) et de picorer quelques pages, en me disant : tout cela a évolué et parfois même est dépassé. Pour son essai sur La Vieillesse (1970), son point de vue - à cette époque - est juste mais aujourd'hui, tandis que l'âge du vieillard s'allonge, il faut réajuster ce qu'elle écrit (elle parle de vieillard dès 70 ans) à leur propos sur des sujets de 90 ans. Il n'empêche que ces deux ouvrages sont des œuvres majeures (La Vieillesse, je l'ai sous la main depuis des mois années, je le lis à dose homéopathique, passionnément. Je peux néanmoins relire Les mémoires d'une jeune fille rangée et ses Cahiers de jeunesse (1926-1938) avec la même jubilation aujourd'hui. De même, si je relis de Françoise Giroud, Le journal d'une parisienne (1990) ou On ne peut pas être heureux tout le temps; ils n'ont pas pris une ride.

 

jeudi 9 novembre 2017

12e Presidents Cup

Que peut faire un golfeur quand lui est imposé un long break?
Il en profite pour passer à autre chose?
Ben non ! Et que je te lise les dernières nouvelles du club, les magazines de golf, et que je te regarde les vidéos. Pfff! Tsss!
Et de rattraper son retard sur les événements passés... comme cette Presidents Cup.


"Créée en 1994, la Présidents Cup est une compétition de golf biennale qui présente la particularité d'accueillir régulièrement les présidents américains en tant qu'invités d'honneur. Cette année encore, plusieurs anciens chefs d'Etat étaient de la partie pour ce trophée qui opposait la semaine passée les Etats-Unis au reste du monde (sauf l'Europe qui dispose de son propre duel avec les Etats-Unis avec la Ryder Cup)".

"Si la Presidents Cup n'est pas réputée pour son suspense insoutenable (10 victoires en 12 éditions pour les Américains), le spectacle se trouve souvent hors les cordes. Comme à chaque édition en terres yankees, les anciens présidents américains ont fait le déplacement. L'occasion pour Phil Mickelson de réaliser un selfie déjà culte, ou pour les wags de s'offrir une photo souvenir. Et que dire de l'accolade entre Tiger [Woods] et Barack [Obama], le droitier de Cypress face au gaucher d'Honolulu? Puisssante."







Clinton, Bush, Obama


Les Wags :
Les épouses et petites amies des sportifs célèbres, 
selon l'acronyme anglais Wives And Girlfriends.
 


Tiger Woods et Barack Obama

(Tiger, le grand retour...) 

PRESIDENTS CUP 2017




(Et si je passais à autre chose ? Un retour vers Picasso et la suite par exemple? Allez, courage fainéante ! Pour le moment, Débranche tout!)


"Nous sommes, par nature, si futiles, que seules  les distractions peuvent vraiment nous empêcher de mourir."  
 Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit.

mercredi 8 novembre 2017

De l'amour... sinon? Sinon...

Bon anniversaire monsieur Delon!




Alain Delon (né le 8 novembre 1935)

"Collectionneur d'art

Alain Delon est aussi devenu collectionneur d'œuvres d'art. Sa collection comprend des œuvres d'Olivier Debré, Rembrandt Bugatti, Jean Degottex, Jean Dubuffet, Hans Hartung, Jean-Paul Riopelle, Pierre Soulages, Nicolas de Staël, Alechinsky, Zao Wou-Ki, Vieira da Silva ainsi que deux bronzes d'Antoniucci Volti, les « Muses ». À la suite d'une exposition organisée par le galeriste Franck Prazan, il a cependant vendu 40 toiles consacrées à l'École de Paris et au mouvement CoBrA lors d'une vente aux enchères à Drouot-Montaigne en octobre 2007. La vente totalisera un peu plus de 8 millions d'euros. Depuis 2013, Alain Delon est également le parrain de Winn'Art, le supplément artistique du magazine Winner dirigé par Véra Baudey."

(Vous avez bon goût Alain (*_*))

Je me souviens... ... de votre blues, en 2005. 
Douze ans plus tard, vous en reparlez avec Léa Salamé.
Votre manque d'amour, votre solitude...y mettre fin...
Et vous tenez le coup ! Tant mieux.
 
Je pense alors au cap que je me suis fixé. Le tiendrai-je, moi? Je l'espère...

Paroles, paroles, paroles...