vendredi 21 mai 2010

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Toujours ce masque que je m'étais pourtant promis de laisser tomber.
Ton enjoué, humour, sourire et rire quand tout est pourtant si... différent.
Continuer de faire croire que tout va bien.
Par politesse.
Je me réfugie dans les livres comme je me réfugirais dans des bras.
Allez, rions, chantons, buvons à ce ciel qui m'ouvre les siens.
Comblons ce vide immense dans cet abîme.

Se suivent les matins et se ressemblent.