10 h 30. Boum boum badaboum.
11 h. Chhhhhuuuuut!
13 h. Faut que je déjeune. Je rêve...
"Il y a le rêve de la nuit qui est proprement involontaire et la rêverie de la journée qui est ce moment de vacance de la raison..."
Gaston Bachelard
14 h. Faut que je déjeune d'autre chose que d'amour et d'eau fraîche!
15 h. Bibliothèque. Pas d'emprunt de livres, j'ai deux Nizon à finir. Emprunté deux DVD, un Rohmer et un film sur un écrivain que je ne connais pas :
"John Arthur Geall, né en 1914 mort en 1966 dans la plus grande solitude (c'est ce mot-là qui a décidé de mon choix, la solitude). Il fascinait Orson Welles qui projetait de faire un film sur lui. Personnage double, dissimulé derrière une existence banale d'employé d'assurances, Geall a laissé une oeuvre entièrement inachevée, jamais publiée de son vivant.
Alors qu'il est aujourd'hui redécouvert en Grande-Bretagne, ce film révèle pour la première fois l'incroyable destin d'un homme que beaucoup considèrent comme l'un des plus grands écrivains anglais du XXè siècle, mais aussi comme la plus grande énigme de la littérature moderne."
Je pense que je le regarderai la semaine prochaine avec mon cher ami. Mon Dieu, trois ans qu'on ne s'est pas vus. Va-t-il me reconnaître? (Oui, l'amitié entre un homme et une femme c'est possible. Surtout quand on a, euh... 24 ans de différence d'âge. Tsss!).
17 h. Je somnole. Bzzz!
18 h - 19 h. Je rêve je rêve...
20 h. Je dîne en écoutant France Culture. La télé m'ennuie et puis je ne capte même plus Arte avec ce foutu numérique!
22 h. Je parcours quelque blog... Je rêve je souris je ris je frémis...
23 h. Au lit! avec Paul (Nizon)... par défaut.
