Claude Monet, Autoportrait
J’ai visité hier soir la superbe exposition Claude Monet au Grand Palais, sans faire la queue, grâce à ce site très réussi qui présente une galerie très complète des tableaux figurant dans l’exposition. On peut zoomer sur chaque tableau et voir les détails à la loupe, les coups de pinceaux et la matière, bien mieux que dans les salles du Grand Palais, j’en suis persuadée, étant donné la foule qui doit s’y presser. Sous chaque œuvre une explication très bien documentée. C’est parfait.
Découverte de cette toile La rue Montorgueil que je trouve flamboyante (à regarder sur le site l'original, en zoomant) et qui m’a rappelé – de façon plus modeste bien sûr – l’histoire de celle-ci.
mon café rue Montorgueil que Monet, en 1878, s'était installé sur un balcon dans cette même rue, pour peindre sur le motif cette fête nationale.
Evidemment, cette visite virtuelle ne remplace pas une visite au Grand Palais, si ce n’était qu’on puisse voir les tableaux dans de bonnes conditions, je veux dire, de très près sans jouer des coudes !
Huile sur toile – 81 cms x 30 cms.
J’ai visité hier soir la superbe exposition Claude Monet au Grand Palais, sans faire la queue, grâce à ce site très réussi qui présente une galerie très complète des tableaux figurant dans l’exposition. On peut zoomer sur chaque tableau et voir les détails à la loupe, les coups de pinceaux et la matière, bien mieux que dans les salles du Grand Palais, j’en suis persuadée, étant donné la foule qui doit s’y presser. Sous chaque œuvre une explication très bien documentée. C’est parfait.
Découverte de cette toile La rue Montorgueil que je trouve flamboyante (à regarder sur le site l'original, en zoomant) et qui m’a rappelé – de façon plus modeste bien sûr – l’histoire de celle-ci.
Evidemment, cette visite virtuelle ne remplace pas une visite au Grand Palais, si ce n’était qu’on puisse voir les tableaux dans de bonnes conditions, je veux dire, de très près sans jouer des coudes !
"De retour à Paris au début de l’année 1878 après la naissance de son fils Michel, Monet est préoccupé par l’état de santé de Camille, de plus en plus faible. Il part tout de même à la recherche de nouveaux motifs parisiens. La fête nationale du 30 juin 1878, organisée pour célébrer le succès de l’Exposition Universelle, lui donne alors l’occasion de peindre une capitale haute en couleurs qui voit réapparaître le drapeau tricolore.
Monet raconte : « J’aimais les drapeaux. La première fête nationale du 30 juin 1878, je me promenais avec mes instruments de travail rue Montorgueil ; la rue était très pavoisée et avec un monde fou ; j’avise un balcon, je monte et demande la permission de m’y installer pour peindre ; elle m’est accordée. Puis je redescends, incognito ! »
Cette toile, d’une grande rapidité d’exécution, montre ainsi la séduction que les drapeaux flottant au vent opèrent sur Monet."
Je ne savais pas en prenant
La rue Montorgueil Fête du 30 juin 1878Monet raconte : « J’aimais les drapeaux. La première fête nationale du 30 juin 1878, je me promenais avec mes instruments de travail rue Montorgueil ; la rue était très pavoisée et avec un monde fou ; j’avise un balcon, je monte et demande la permission de m’y installer pour peindre ; elle m’est accordée. Puis je redescends, incognito ! »
Cette toile, d’une grande rapidité d’exécution, montre ainsi la séduction que les drapeaux flottant au vent opèrent sur Monet."
Je ne savais pas en prenant
Huile sur toile – 81 cms x 30 cms.