vendredi 29 juillet 2011

Au fil des heures...

11 heures.



15 heures.
Je passe de mon écran d'ordinateur à la terrasse; un va et vient continu. Puis je me pose, pour lire. J'ai du mal à ne pas lever le nez de mon livre quand je suis sur la terrasse, il y a toujours quelque chose qui attire mon regard : le ciel, les oiseaux, les guêpes, les bourdons, les araignées. C'est un peu de campagne en ville.
Ce matin, il y avait même des crottes de chauves-souris sur la table. Je les reconnais, il y en avait plein le long du mur de ma maison lorsque je vivais à la campagne. Leurs petits cris la nuit me manquent. J'aimais, au crépuscule voir planer, sans un bruit devant mes fenêtres, mes pipistrelles.  Leurs petites crottes noires ont la taille d'un grain de riz.

Ici elles sont vues à la loupe.

C'est la première fois que je vois une sauterelle
sur la terrasse.
20 h 30.
J'essuie la vaisselle, un verre à eau. J'ai chaud. Je pose le torchon avec le verre dedans près de la fenêtre. J'ouvre la fenêtre en grand. Je reprends le torchon, j'oublie qu'il y a un verre dedans. Paf! par terre, cassé.



Un bon prétexte pour racheter du nu...la (marre de recevoir de la pub quand j'écris une marque!), que je vais déguster à la cuillère. Miam!




Clap, énième : ma vie est passionnante.