Zut, je suis triste. J'avais tant espéré la voir
cette femme extraordinaire et elle ne viendra pas. Bon, je me consolerai en rencontrant d'autres écrivains, que j'apprécie. Mais elle, cette femme, je me réjouissais tellement de la voir. Bien sûr, je n'aurai pas pu l'approcher, comme lorsqu'on va au Louvre voir la
Joconde, mais elle, elle est vivante. Et je veux qu'elle le reste, qu'elle se préserve, donc je lui pardonne
sa défection, ô oui, comme je vous pardonne chère Doris Lessing.