Il faut que j'écrive rapidement ici, n'importe quoi, pour échapper à mes interrogations existentielles. Dérision des blogs et... de ce que j'écris. Derrière l'écran, des êtres de chair et de sang. L'écran comme bouée de sauvetage? Pour se noyer il n'y a pas mieux! Mes pensées se bousculent au portillon depuis hier et, cette tristesse d'une disparition.
La journée était ensoleillée, lumineuse, il ne fallait pas sombrer, cesser de cogiter, j'ai regardé le ciel au lieu de regarder ma balle, j'ai joué comme un pied mais je respirais... j'oubliais*... je vivais.
En rentrant, ces "fumées" dans le ciel qui me ramènent toujours vers toi, mon "fumeur de havanes".
Hier j'ai planté ces rouges-gorges en tôle dans un pot, ça c'est du concret. Vont-ils attirer les vrais piou-piou?
* On n'oublie jamais...