samedi 28 mai 2016

Avoir un bon copain, énième!

J'ai vraiment un bon copain!
Même quand il n'y a rien à fêter, il m'expédie de charmants petits cadeaux, comme ça, sans prétexte, pour son plaisir, et le mien.

Des petites attentions qui parlent d'amitié. Ce n'est pas un golfeur mais il connaît ma passion. Hier, j'ai reçu ces tees (blancs) et ces balles de golf avec un logo fleurs de lys, ainsi qu'un écusson qui va rejoindre  ma petite collection sur mon premier sac de golf (1980). Ceux, de quelques clubs dont j'ai eu le de privilège fouler les fairways... durant mes premières années de golf. J'ai rapidement abandonné cette collection. Il fallait les coudre et ce n'était pas facile, la toile du sac est plastifiée à l'intérieur. Je reconnais les deux que tu as cousus mon aimé, je n'avais plus le courage de les coudre : on voit les points (de couture;-).







Tout de même, ces balles, ces tees, cet écusson ont pris l'avion, 
 pour arriver en France!
Peut-être avec Snoopy?


Image du Blog snoopyfillou.centerblog.net


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Avant-hier soir, vu ce film


 

Mauvaise pioche! Mortel ennui.
Deux Rémi deux ne dure que 1h05. Youpi!

"Rémi, un trentenaire timoré, travaille dans une agence de protection des animaux domestiques (Chat va bien), aime la fille du patron mais n'ose rien. Et voilà qu'un double s'invite chez lui et au travail. Rémi est déboussolé. Qui est ce type ? Un rival ? Un complice idéal ? Ou l'homme qu'il aimerait être ? Pierre Léon, qui avait déjà adapté L'Idiot, s'est inspiré très librement d'un autre livre de Dostoïevski (Le Double), en l'orientant vers une forme de conte burlesque. Un genre de comédie pince-sans-rire*, une divagation instruite mais s'amusant de l'esprit de sérieux, et servie par une bande piquante de comédiens excentriques. Du cinéma minimaliste, malicieux, matois*."
(Jacques Morice pour Télérama)

* J'ai dû me pincer pour ne pas quitter la salle; au premier quart d'heure je me raccrochais à l'idée que ça n'allait durer qu'une heure. Parfois une heure c'est plus long que: Deux heures deux.
La salle était pratiquement vide; il fallait sans doute une motivation pour aller le voir? Laquelle? La présence du cinéaste Pierre Léon et de l'interprète Pascal Cervo (Rémi)? Je me demande quelle était la mienne (*_~). Hum!. Deux Rémi deux, une fois ça suffit. Ce titre me rappelle les bistrots parisiens quand le garçon annonce les commandes : deux cafés, deux... etc. Aujourd'hui les serveurs ont des petits écrans où ils les notent. Tout fout l'camp et même les tickets de métro vont disparaître! Allez : Un Rémi (Martin), un! Non mais!
Rien à reprocher à l'interprétation.

* Je dois manquer de finesse...

Le Double (en russe : Двойник) est le deuxième roman de l’écrivain russe Fiodor Dostoïevski publié le 1er février 1846 dans Les Annales de la Patrie.
Contrairement à sa première œuvre, Les Pauvres Gens, ce roman rencontre un accueil glacial. Le sentiment d’échec est tel pour le jeune auteur qu’il tente vainement de réécrire Le Double dans les années qui suivirent. En 1861, il retravailla une nouvelle version, qu’il intègre à ses Œuvres complètes en 1866.


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(Je prends des vacances, sans un, ni deux...)