Je suis effrayée par l'étonnement (je reste polie) des Français aux diverses révélations qui explosent de toutes parts.
Quelle candeur que de croire à l'intégrité des politiciens, des hommes d'affaires!
Les comptes en Suisse? Pfff! C'est presque aussi courant (je ne dis pas : normal) que de posséder une Rolex quand on a du pognon.
Et cette nouvelle "transparence" que l'on voie surgir sur les "biens" des personnes au pouvoir. Quelle rigolade!
(Je possède un couteau suisse:))!
(Je possède un couteau suisse:))!
Comment prendre tout cela au sérieux? Tout le monde va de son "c'est lamentable, honteux...". Eh oui! Et lorsque j'ose dire que ça me fait marrer, j'ai le droit à des regards ébahis, voire très réprobateurs. Ah ah!
Tout cela est tellement gros et minable, comment ne pas en rire.
Nous vivons dans un monde où le vaudeville et la tragédie se côtoient sans cesse.
"Les idéologies m'importent peu, je suis du côté de la dignité de l'homme."
Louis Calaferte.
* "Généralement la traduction de cette locution latine est « le sort en est jeté » ou « les dés sont jetés » ce qui signifierait l'abandon de l'individu au hasard, aux évènements sur lesquels il n'aurait aucune emprise, n'ayant plus la possibilité de revenir sur ce qui a été commis. Mais une autre interprétation tendrait à indiquer que le locuteur choisit de prendre un risque en précipitant les évènements, même s'il n'en est pas totalement le maître : il prend en main sa vie. La première interprétation est fataliste alors que la seconde est une apologie du libre-arbitre."
(Wikipédia)
* "Généralement la traduction de cette locution latine est « le sort en est jeté » ou « les dés sont jetés » ce qui signifierait l'abandon de l'individu au hasard, aux évènements sur lesquels il n'aurait aucune emprise, n'ayant plus la possibilité de revenir sur ce qui a été commis. Mais une autre interprétation tendrait à indiquer que le locuteur choisit de prendre un risque en précipitant les évènements, même s'il n'en est pas totalement le maître : il prend en main sa vie. La première interprétation est fataliste alors que la seconde est une apologie du libre-arbitre."
(Wikipédia)