Vendredi 30 juillet.
Matin.
Bien sûr que si… je suis désespérée.
Ce n’est pas le temps que dure le sentiment amoureux qui compte, c’est son intensité.
Bien sûr que si... le chagrin peut être éternel, quand on reste sur des regrets plus que sur des remords.
Après-midi.
Première compétition de l’année, me suis lancée, avec succès. Première execo, avec seulement 5 points rendus pour moi en stableford et pour l’autre gagnante 17 points rendus. Je pensais n’avoir aucune chance et je l’ai eue.
Je m’épate (rires), je ne m'appelle pas Modeste.
Samedi 31.
Epaules bloquées au réveil, tsss, bien fait, j’avais qu’à ne pas faire la compète. Ça veut jouer les sportives et c’est cassée de partout.
Soirée. Dîner dans une brasserie avec mes nièces et petites nièces. Nous avons beaucoup ri. Plus mal au dos.
Dimanche 1er août.
Changement de livebox, pfff ! Enfin, cette fois c’est la mienne, l’autre était provisoire… un peu piratée.
… Je n’attends plus rien, mais j’espère toujours… quoi ?
Soirée : regardé des photos magnifiques... et parlantes, sur un blog.
23 h 30. Je vais commencer le dernier livre emprunté à la bibliothèque : Small world de Martin Suter. C'est en lisant samedi le dossier que lui consacre le MDA que j'ai eu envie de connaître cet auteur suisse. Je n'ai rien lu de lui. Une heureuse découverte, je l'espère. Je tente le roman, ce genre littéraire que souvent je délaisse en cours de lecture, pour revenir à celui dont je ne me lasse pas, le Journal (en ce moment celui de Paul Nizon).