* Proverbe bouddhiste : Sentences bouddhistes - VIe s. av. J.-C.
J'apercevais de loin son crâne luisant dans le soleil du matin.
Je m'approchais et touchais ces gouttelettes.
Non, ce n'était pas ce que je croyais :
de la résine du pin qui se serait déposée là, sur son crâne.
Mon Bouddha transpirait... de rosée!
J'arrive tout couvert encore de rosée
Que
le vent du matin vient glacer à mon front.
Souffrez que ma fatigue à vos
pieds reposée
Rêve des chers instants qui la délasseront.
Paul Verlaine, Green.