Le bonheur existe... je l'ai rencontré
chaque soir de cette semaine en écoutant François Cheng dans A voix nue.
Un moment de grâce, de poésie.
Une voix, inoubliable.
Un passeur d'émotion.
Crédit photo : Carlos Freire
Calligraphie François Cheng
A voix nue, cinq chapitres à réécouter :
A déguster, à savourer comme un macaron de Pierre Hermé : l'Ispahan, le préféré de François Cheng, au parfum de rose et de litchi. Il en parle avec sensualité, en esthète avec la gourmandise d'un jeune homme de 85 ans.
Deux heures et demie de bonheur, par petites touches d'une demi heure pour faire durer le plaisir.
"L’épanouissement d’une fleur, le coucher du soleil ou le ciel étoilé permettent, un instant, de se trouver en accord avec le monde. La reconnaissance de la splendeur du monde nous renvoie à notre propre unité intérieure. L’univers a beau être très vieux, c’est pour chacun toujours « la première fois, l’unique fois ». [...] « Nous ne possédons pas la durée, mais nous vivons l’instant, qui est le vrai mode d’être de la beauté."