samedi 25 novembre 2017

"L'automne est une attente immobile, avec les brusques clameurs des vents volubiles." (Henning Mankell)



J'étais partie pour une longue promenade le long de la plage, sur les dunes. Le vent glacial  me dirigea rapidement vers les ruelles étroites de l'île où je m'engouffrais pour m'en protéger.



Mais la vue sur la mer était si belle, que je prolongeais ma balade jusqu'à la pointe de l'île.


A nouveau, je me réfugiais dans une ruelle...



... avant d'aller me réchauffer Chez Pierre, avec un délicieux Café Viennois.


J'avais de la chance, c'était la première fois que je pouvais profiter du petit coin cosy et m'enfoncer dans un des fauteuils clubs en cuir très confortables que je convoitais les autres fois.
Au-dessus de ma tête, ce plafonnier et ses bouteilles vides n'était pas le seul objet insolite de ce lieu que j'apprécie, autant que le Café Viennois servi généreusement par le maître de maison, avec le sourire, ce qui le rend encore plus savoureux!

Je feuilletais le journal du coin, à la disposition des clients, le sourire aux lèvres en découvrant qu'un ami (perdu de vue) venait de publier un nouveau livre. Tiens tiens, et si je l'achetais pour le faire dédicacer lors de sa prochaine séance de signature; ce serait amusant de voir sa réaction en m'apercevant. Bon, ce ne sera pas un remake de D'après une histoire vraie le film de Roman Polanski (et Olivier Assayas), mais ... Au fait, je suis fan des films de Polanski (et de Assayas) mais ce dernier m'a déçue.

J'avais fini de siroter mon Café Viennois, le bistrot commençait a être bien rempli et animé. Je remettais ma doudoune et m'emmitouflais dans mon écharpe pour affronter le vent toujours glacial sous un ciel bleu et la divine lumière d'une fin novembre.

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