samedi 21 août 2010

Voyage dans les mots

Mûrier platane

Je reviens ce soir rendre visite à Oceania que j’ai découverte trop tard. Elle est partie mais son blog reste ouvert. C’est un trésor, rempli de poésie, de douceur, de générosité. Nombre des auteurs qu’elle aimait sont aussi les miens et les relire chez elle ajoute à l’émotion que certains soulèvent toujours en moi.

Et je lis ce billet : Oceania (Derrière la fenêtre) rédigé le 25 septembre 2009 et publié le 10 mars 2010, trois mois avant son décès :
« L’an prochain, si nous ne sommes pas plus, que nous ne soyons pas moins. »
Ça me chamboule.

Lire Oceania c’est déposer quelques fleurs sur ses cendres.